Transcription du 🎙️ PODCAST #1 – Confiance en soi et estime de soi avec Emmanuelle BRIOUDE, sophrologue Ă  OrlĂ©ans

Aurélie RENARD-VIGNELLES : Bonjour et bienvenue dans ce tout 1er podcast de 6foisdys. Aujourd’hui je suis ravie d’accueillir dans ce tout nouveau format, ma nouvelle partenaire Emmanuelle BRIOUDE, sophrologue à Orléans.

Bonjour Emmanuelle !

Emmanuelle BRIOUDE, sophorologue : Bonjour Aurélie !

AurĂ©lie : Si vous vous souvenez bien, sur les rĂ©seaux sociaux, je vous avais posĂ© la question suivante : « Connais-tu tes forces et qualitĂ©s ? Â». Je vous demandais de rĂ©pondre Ă  cette question en commentaire. Eh bien vous vous en doutez, si je vous ai posĂ© cette question ce n’est pas par hasard. Car aujourd’hui, nous allons parler de confiance en soi et d’estime de soi avec Emmanuelle.

Mais avant qu’on parle de tout ça, est-ce que tu pourrais te présenter Emmanuelle, et nous dire ce qui t’as donné envie de devenir sophrologue ?

Emmanuelle : Avec plaisir ! En fait, la sophrologie ça a complètement transformé ma vie. J’étais quelqu’un qui n’allait pas forcément très bien, j’ai cherché pendant longtemps des méthodes pour aller mieux, et puis j’ai découvert la méditation de pleine conscience d’abord, puis la sophrologie.

Ça m’a permis d’être vraiment mieux dans ma tête et dans mon corps. Après, j’ai voulu partager ça avec les autres. Et j’ai décidé d’en faire mon métier.

Aurélie : Et il me semble que c’est une reconversion professionnelle, n’est-ce pas ?

Emmanuelle : Oui, avant j’étais enseignante en élémentaire, j’étais professeur des écoles, pendant 15 ans.

Aurélie : Chouette virage à 360 👍 ! Et je crois d’ailleurs, que ton métier d’enseignante il reste quand même un petit peu là, puisque, de mémoire tu interviens dans la réussite éducative 🤔 ?

Emmanuelle : Exactement, je fais des ateliers « sophro Â» pour les enfants de 6 Ă  9 ans avec la rĂ©ussite Ă©ducative. On fait des ateliers sophro, oĂą d’ailleurs, on parle de confiance en soi et d’estime de soi avec les enfants.

Aurélie : Très bien et à partir de quel âge on peut commencer à faire de la sophrologie ?

Emmanuelle : DĂ©s la maternelle il y a des ateliers sophro.

Aurélie : Donc tu fais voir quoi, peut-être la colère, les émotions ?

Emmanuelle : Oui, on travaille sur les émotions, c’est ludique la sophrologie pour les enfants. On fait des petits jeux qui ne durent pas longtemps, c’est vraiment adapté aux enfants. C’est prendre connaissance de ses émotions, savoir quoi en faire…

Aurélie : Tu reçois des patients de tout âge, et également parmi eux, des personnes en situation de handicap…

Emmanuelle : Oui, également. Effectivement, le handicap invisible, m’intéresse de par mon histoire personnelle. J’accompagne ma fille qui souffre d’une maladie invisible et j’ai vu à quel point ça pouvait être compliqué le regard des autres, le fait de ne pas pouvoir faire la même chose que les autres alors que ça ne se voit pas, le fait de déployer des efforts considérables pour faire la même chose que les autres mais en ayant déployé 3 fois plus de compétences finalement, prendre conscience de tout ça, gérer tout ça et la sophro peut aider à tout ça !

AurĂ©lie : Tout Ă  fait, c’est vrai que par mon parcours personnel, effectivement je le ressent. J’ai pas mal de fatigue… Mais surtout aussi, je ne sais pas si vous chers auditeurs (ou lecteurs ici), si vous ĂŞtes DYS, ou en situation de handicap, mais moi j’ai toujours aussi eu, vraiment du mal Ă  avoir confiance en moi et Ă  avoir une bonne estime de moi, notamment Ă  cause de la stigmatisation, tout ce qui est comparaison avec mes paires « normĂ©es Â» (mĂŞme si je n’aime pas ce mot). Et justement j’ai toujours eu cette question : j’ai toujours eu du mal Ă  comprendre la diffĂ©rence entre la confiance en soi et l’estime de soi.

Alors peut-être que justement, aujourd’hui, tu vas pouvoir nous éclairer sur ce sujet Emmanuelle puisque tu es sophrologue.

Emmanuelle : C’est sûr qu’il faut être au clair, si on veut travailler la confiance et l’estime, il faut être au clair sur ce que c’est en fait. Il est vrai que ce sont 2 choses différentes.

La confiance en soi va être liée aux capacités, à un savoir-faire qu’on développe, qui nous donne confiance, c’est l’assurance en fait. J’ai réussi à faire telle chose, par exemple, à faire du vélo, me lancer sur 2 roues quand j’étais petite, parce que je pense que j’avais les capacités pour le faire. J’avais confiance en mon équilibre etc.

Et d’ailleurs cette confiance en soi, elle va se renforcer à chaque fois qu’on accomplit quelque chose.

Alors que l’estime de soi, c’est plus un jugement qu’on porte sur soi-même. C’est un sentiment de valeur, c’est une opinion personnelle.

AurĂ©lie : Si je puis me permettre, dans le livre « Les 50 règles d’or de la confiance en soi« , ils disent que l’estime de soi, c’est la reconnaissance de sa propre valeur, et la confiance en soi, c’est la reconnaissance de ses propres compĂ©tences.

Alors moi j’ai quand même une question, Emmanuelle, ils disent de sa propre valeur, concernant l’estime de soi, mais j’ai l’impression que finalement, l’estime de soi c’est quand même assez lié à l’estime que les autres ont de nous ?

Emmanuelle : Oui, en tout cas, tu as tout à fait raison, c’est lié à quelque chose qui est extérieur. Ce qui ne devrait pas être, en fait. On va voir au contraire que justement, il faut se détacher de cet extérieur.

En fait, souvent, on a une faible estime de nous-mĂŞme parce qu’on va mesurer notre estime en regardant la distance qu’il y a entre nous et ce qu’on voudrait ĂŞtre. Ou mĂŞme presque ce qu’il faudrait ĂŞtre, tellement la sociĂ©tĂ© nous renvoie trop de « normes Â».

Comment, qu’est-ce qu’il faut faire à 20 ans, qu’est-ce qu’il faut faire à 30 ans, comment il faut être, etc, donc on la mesure sans arrêt.

Aurélie : Il y a ça et aussi il y a les croyances limitantes !

Emmanuelle : Oui, exactement ! C’est un peu pareil, en fait. Ce sont des croyances qu’on a développé en fonction de comment on a été élevé, ce qu’on nous a dit et le jugement qu’on a porté sur nous, finalement. On a intégré ces expériences.

Aurélie : On peut également parfois avoir une mauvaise estime de nous-même à cause de la culture qu’on a, de l’ethnie aussi. C’est vrai qu’il y a des fois des croyances comme ça qui font qu’on a plus ou moins d’estime de soi…

Emmanuelle : Effectivement, les croyances ou même ce dictat extérieur ce sont des choses qui enferment, en fait. Qui enferment et qui limitent. Donc le but, ça va être, de se libérer de ça. De se libérer de ce regard, de ce jugement et de cette mesure de la distance entre ce qu’on croit être et ce qu’on devrait être.

Aurélie : Bien sûr. Et donc toi, comment tu dirais que la sophrologie peut accompagner pour cette confiance en soi et cette estime de soi ?

Emmanuelle : Eh bien, c’est assez profond ce qu’elle peut apporter. D’ailleurs c’est tout un travail, ça ne se règle pas en une séance. Souvent c’est des protocoles de plusieurs séances.

En fait la sophrologie c’est une méthode psycho-corporelle, déjà. Donc, c’est un peu régi par plusieurs principes, dont le principe d’action positive. C’est-à-dire que toute action positive qu’on fait sur le corps, va se répercuter sur l’esprit et vice versa…

Aurélie : Donc au final, si on résume, l’esprit agit sur le corps et le corps agit sur l’esprit ! C’est un esprit sain dans un corps sain finalement.

Emmanuelle : C’est prendre conscience du lien entre les 2, prendre conscience de ton corps sur les ressentis corporels, et c’est une méthode complètement écologique du coup…

Aurélie : Ah ouais là c’est sûr on peut pas faire plus écologique effectivement ! [rires]

Emmanuelle : On agit sur son propre écosystème, en fait. Et elle est vraiment basée sur le respect de la personne. On apprend que l’estime de soi, elle ne peut se baser que sur soi, qu’elle ne peut que dépendre de toi en fait. Pas de la comparaison, pas des actions, pas des jugements des autres…

Aurélie : On pourrait croire que justement, la stigmatisation, et tout ce qui va derrière, les comparaisons qu’on nous fait par exemple par rapport à des personnes qui auraient un cerveau neurotypique, je sais que par expérience avec mes troubles DYS, il y a des fois où je suis capable de faire certaines choses et d’autres fois, j’en suis incapable alors que je viens de faire la chose très bien…

Du coup c’est vrai que c’est un peu frustrant parce qu’on a l’impression dĂ©jĂ  qu’on nous compare Ă  nous-mĂŞme et ensuite par rapport aux autres avec des phrases du style : « Ouais mais t’as vu, elle, elle est autonome, pas toi ! Â».

Emmanuelle : Exactement, alors que, ce n’est pas une histoire de se comparer avec l’autre, c’est une histoire d’être en alignement, enfin d’être aligné avec ses propres valeurs. En fait en sophrologie, on va vraiment sur l’estime de soi, travailler sur ses propres valeurs. Parce que c’est apaisant, en fait. Déjà de se demander qu’est-ce qui nous anime, quelles sont nos valeurs, avec quelles valeurs on vit. Et ça par des méthodes de sophrologie, on fait émerger ça ! Et prendre conscience de ces valeurs, c’est aussi prendre conscience, qu’on a envie de vivre en alignement avec ses valeurs, qu’on est plus aligné et que du coup l’estime de soi-même c’est ça !

⚠️ L’estime de soi, ce n’est pas se trouver génial(e) tout le temps. Parce que personne n’est génial tout le temps et personne n’a que des qualités et personne ne fait que des trucs supers, personne n’est jamais au top tout le temps.

Aurélie : De toute façon, on a tous des qualités et tous des défauts, c’est clair !

Emmanuelle : Exactement ! Mais en fait, pour vraiment avoir cette estime de soi, enfin pour la ressentir, parce qu’en sophro on la ressent, on essaie de la ressentir. Il faut vraiment travailler sur « ĂŞtre en cohĂ©rence Â» avec ces valeurs lĂ . Et puis aussi, accepter qu’il y a des jours oĂą on ne peut pas faire ça, il y a des jours où…

Aurélie : On n’est pas des supers womans ! Et surtout, on a le droit de ne pas savoir aussi, ça c’est super important !

Emmanuelle : Ouais exactement ! Et c’est hyper important d’accepter ça…

AurĂ©lie : C’est vrai que pendant longtemps je me suis foutue la pression sur certaines choses et en fait : « tu as le droit de ne pas savoir AurĂ©lie Â» !

Parce que c’est vrai que quand on ne sait pas, ça a tendance Ă  influencer notre estime nous mĂŞme parce que c’est « oh mince, je ne sais pas, je suis nulle quoi ! Â».

Du coup c’est une phrase plutôt violente, c’est clair, mais du coup c’est vrai que ça joue beaucoup sur l’estime de soi, en fait !

Emmanuelle : Et pourtant la valeur elle ne dépend pas de ce que je sais ou de ce que je ne sais pas, elle dépend de rien en fait. Elle ne dépend pas du jugement des autres, elle ne dépend pas des personnes qui m’entourent, elle ne dépend pas de ce qu’on dit ou de ce qu’on pense sur moi. Non, elle dépend juste de la bienveillance que je vais avoir envers moi-même. Parce que ça aussi c’est important pour développer une bonne estime de soi-même !

Aurélie : C’est vrai qu’on parle souvent effectivement de la bienveillance envers les autres, mais jamais vraiment envers soi-même.

Emmanuelle : Eh oui !

AurĂ©lie : Je sais que personnellement j’ai toujours Ă©tĂ© un peu dure avec moi-mĂŞme. D’ailleurs je me souviens qu’une psychiatre me disait : « Mais AurĂ©lie, vous vous rendez compte de ce que vous faites Ă  votre corps ? Vous le mutilez, enfin c’est comme si vous vous ligotiez finalement ! Â», alors qu’en fait je ne me ligote pas du tout en vrai, hein, je vous rassure. Mais c’est juste que je ne rĂ©flĂ©chis qu’avec mon cerveau et j’oublie mon corps finalement.

Emmanuelle : Ouais !

AurĂ©lie : Et justement j’avais Ă©tĂ© voir une psychomotricienne pour remettre tout ça en place. Donc malheureusement entre temps, il y a eu le confinement et puis elle est partie, je crois en Corse, donc je ne vais peut-ĂŞtre pas aller en Corse pour aller faire des sĂ©ances de psychomot [rires]. Mais en tout cas, voilĂ , j’avoue que les sĂ©ances que j’avais fait avec elle m’avaient fait du bien parce que ça m’avait permis de prendre conscience que « oui j’avais un corps Â» et que je n’avais pas qu’un esprit en fait !

Emmanuelle : Ouais, et c’est ça ! La sophrologie c’est vraiment beaucoup de tout ça, c’est le ressenti dans le corps. Et on peut ressentir l’estime de soi et la bienveillance. On peut ressentir ça par :

  • des visualisations
  • de la relaxation
  • une certaine respiration

Et une fois qu’on le ressent dans le corps, eh bien le positif est ancré et c’est plus facile de se sentir mieux, de se sentir aligné avec ses propres valeurs quand on l’a d’abord ressentie dans le corps. Parce que le corps sait, aussi.

AurĂ©lie : C’est vrai que moi j’ai eu la chance de faire une petite sĂ©ance avec toi, et moi je trouve que parmi les 3 initiations que tu m’avais proposĂ©es, la visualisation c’était vraiment quelque chose qui m’avait permis de me projeter, en fait ! Parce que finalement, quand tu te projette un petit peu, tu te dis : « VoilĂ , voilĂ  ce que j’aimerais ĂŞtre ! Â».

Et du coup avec la visualisation, bah, ça te renforce cette estime de toi et confiance en soi.

Emmanuelle : ça ouvre les possibles !

Aurélie : Voilà je suis capable de le faire, enfin, je m’en sens capable, même si j’ai peur, même s’il faut que j’aille au-delà de ma zone de confort, et finalement d’élargir cette zone de confort.

Emmanuelle : Ouais !

AurĂ©lie : En fait ce qui m’empĂŞche d’avancer parfois, c’est cette sensation que j’ai comme si j’allais sauter Ă  l’élastique et que j’étais au bord, tu vois : « ah je vais tomber, bah oui mais non, c’est vrai j’ai un Ă©lastique Â».

Emmanuelle : Ouais voilĂ  !

AurĂ©lie : Donc en fait, de toute façon : « Qui ne tente rien, n’a rien ! Â». Je sais aussi qu’il y avait une phrase que me disait souvent ma phoniatre pour me motiver, c’est : « Quand on veut, on peut ! Â». Si tu le veux, tu y arriveras.

Alors peut-être pas tout de suite, hein, parce qu’il y a toujours une marge d’erreur (d’ailleurs dans mon prochain podcast je vous parlerais du jeu d’échecs) et c’est vrai que le jeu d’échecs m’a permis de me rendre compte qu’en fait oui en faisant des erreurs on apprend !

Emmanuelle : Oui ! Alors quand on veut on peut, oui, c’est vrai, mais je pense aussi que…

Aurélie : Il faut se donner les moyens.

Emmanuelle : Ouais, non, puis il faut aussi avant, faire ce travail sur l’acceptation de ma vie telle qu’elle est, parce que vouloir, enfin parfois, on a beau vouloir, non on ne peut pas, mais c’est accepter ça, et vouloir des choses qui soient en cohérence avec ces valeurs, avec ce qu’on peut faire !

Aurélie : Et réalisable aussi.

Emmanuelle : Voilà c’est ça !

Aurélie : C’est surtout que ce soit réalisable !

Emmanuelle : Ouais c’est ça ! En cohérence avec ce qu’on est.

Aurélie : Là pour le coup j’avoue que par rapport au contexte de la rééducation, c’est vrai que les choses étaient réalisables, c’est pas comme si par exemple, c’était une question de moyens financiers ou autres…

C’est moi, Ă  l’intĂ©rieur de moi si tu veux. Donc c’est vrai que, oui effectivement le « quand on veut on peut Â» c’est par rapport Ă  soi-mĂŞme.

Ce n’est pas forcément par rapport aux moyens financiers…

Emmanuelle : Ouais c’est ça ! Et ça passe par une connaissance de soi et une acceptation… Et j’aime bien l’idée aussi que l’estime de soi parce que c’est presqu’une responsabilité qu’on a vis-à-vis de nous, vis-à-vis de notre corps, une responsabilité de bienveillance en fait. Notre corps en tant qu’être vivant, c’est ça aussi la sophro. On commence souvent par une position de verticalité qui nous fait être en fait un trait d’union entre la Terre et le Ciel, c’est comme…

Aurélie : C’est beau ça, je trouve, c’est bien dit, c’est très poétique !

Emmanuelle : Oui, bah c’est ça…

Aurélie : J’imagine bien un peu l’arbre de vie tu vois !

Emmanuelle : Ouais. Et c’est cette posture d’être humain en fait, qui fait que c’est la première étape vers l’estime de soi en fait.

« C’est la reconnaissance de notre humanité« . Et dĂ©jĂ , je trouve que c’est assez appaisant en fait.

Et puis après, en tant qu’être humain, quelles sont les valeurs qui m’animent. ça aussi c’est assez intéressant de voir quelles valeurs émergent pendant cette séance de sophro consacrée aux valeurs. Quelles valeurs vont émerger et puis après se sentir dans son corps en cohérence avec valeurs !

Aurélie : Ouais, c’est beau !

Emmanuelle : Ouais, et puis ça fait du bien !

Aurélie : C’est vrai que ça fait du bien !

Moi j’avoue que j’ai beaucoup apprécié tout ce que tu m’as proposée… Bon j’avoue que j’ai encore du mal avec la cohérence cardiaque, hein… [rires], on ne va pas se le cacher… Mais sinon les 2 autres choses que tu m’avais fait voir, ça m’a beaucoup aidé.

Emmanuelle : Alors la cohérence cardiaque, c’est moi qui l’intègre dans les séances de sophrologie. La cohérence cardiaque, c’est plus pour réduire le stress, etc, puis ça peut rééquilibrer un peu avant de faire une séance…

Aurélie : D’accord. En tout cas merci encore pour ta participation.

Emmanuelle : Je t’en prie !

Aurélie : ça m’a fait plaisir de faire ce podcast avec toi, parce que je crois que tu as pour ambition de faire des podcasts aussi.

Emmanuelle : J’ai envie de faire des podcasts aussi et ça m’a fait très plaisir de le faire avec toi et j’en suis très heureuse et en plus c’est un très beau thème que tu m’as présenté là…

Aurélie : C’est un thème qui nous rejoint toutes les 2 finalement, donc c’est pour ça aussi que j’ai voulu faire ce premier podcast avec toi, ça me tenait vraiment à cœur.

Et du coup on peut te retrouver sur internet ?

Emmanuelle : Oui, donc sur mon site www.emmanuellebrioude-sophrologue.fr/ et puis sur instagram Ă©galement « sophrologie_a_orleans Â» et voilĂ .

Aurélie : Ok ! Eh bien écoute, un grand merci à toi pour ce petit podcast qui j’espère vous aura plu !

Emmanuelle : Merci Ă  toi !

Aurélie : Moi personnellement c’était vraiment un plaisir de le faire, ça m’a donné envie de continuer de faire des podcasts… C’est vrai qu’en fait, j’ai plutôt l’habitude de faire des vidéos, mais je trouve que ce sujet là en particulier, était un thème qu’on pouvait aborder en podcast parce que c’est vraiment un thème qui est vraiment intime on va dire, en quelques sortes. Et voilà.

Donc, bah voilà, j’espère que ce petit podcast vous aura plus à liker la vidéo, à la partager, à la commenter et à nous dire si vous avez aimé ! Voilà, à bientôt !


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